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 Go to Hell, Sibyl ♦ Hyli

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Hyli Yukimura
Hyli YukimuraProfilMessages : 2
Date d'inscription : 09/01/2016

MessageSujet: Go to Hell, Sibyl ♦ Hyli   Go to Hell, Sibyl ♦ Hyli Icon_minitimeJeu 14 Jan - 20:38

 

 
YOU !

 


  Nom
  Yukimura

  Prénom
  Hyli

  Âge
  21 ans

  Nationalité
  Japonaise/Européenne

  Genre
  Femme

  Orientation sexuelle
  Pansexuelle

  Groupe
  Criminels

  Profession
  Fleuriste / Hacker / Chanteuse

 Coefficient de criminalité
 Asymptomatique
 

 
 
 
 
 

 
Quoi ma tronche ?

 

  Hyli n'est pas la jeune femme typique que l'on s'attendrait à rencontrer. Elle n'est pas grande, mais ce n'est pas pour autant qu'elle est considérée comme petite non plus. Elle est dotée d'un physique frêle, qui lui donne un certain désavantage au niveau de sa force. Mais ce qu'elle manque en force, elle le gagne en agilité et en rapidité. Ce n'est cependant pas sa corpulence maigrichonne qui frappe les gens. C'est le fait qu'elle soit une albinos qui le fait.

 En effet, l'apparence de la jeune criminelle peut très bien en choquer plus d'un. À commencer par sa tignasse d'un blanc de neige, épaisse et très bouclée, coupée courte à l'exception de deux tresses épaisses lui tombant devant les épaules. Ses cheveux sont constamment en bataille, impossibles à coiffer; ils ont l'air secs alors qu'en réalité, il n'existe probablement pas de chevelure plus douce que la sienne.

 Autre point choquant de son apparence; sa peau. Laiteuse, presque translucide, elle laisse transparaître ses veines bleutées ou violacées à la surface de certaines zones de sa chair, qui lui donnent un air pratiquement fantômatique. Sa peau est si pâle et fragile qu'elle court de grands risques à sortir en plein jour, car en s'exposant au soleil... disons simplement que sa peau y réagit très mal. Et plus elle vieillit, pire ça devient. Alors lorsqu'elle doit absolument quitter son petit coin sombre privé de la lumière du soleil - ce qui est déjà une chose extrêmement rare en soi -, elle est toujours équipée d'une ombrelle en dentelle noire délicate, juste pour se cacher de l'astre solaire sans pour autant en devenir trop lourde.

 Il faut d'ailleurs noter les traits assez inhabituels de la jeune femme. D'une manière, elle semble innocente, douce au vu des teintes désaturées de sa peau. Mais en même temps, ce visage si pâle peut sembler celui d'un cadavre; ses joues présentent un léger creux dû à une certaine malnutrition ou un manque de lumière, ses lèvres fines légèrement teintées de bleu, totalement naturellement, et sur lesquelles il est possible d'observer les filaments bleutés et violacés de minuscules vaisseaux sanguins qui y acheminent son sang. Enfin, pour les voir il faut vraiment y faire attention. Son sourire est tout aussi impeccable que le blanc de sa peau, son nez est petit et très fin, bien dessiné par rapport au reste de son visage. Cependant, ce qui crée un impact plus marquant chez les gens qui la voient, ce sont ses yeux.

 Ah, ses yeux. Bleus comme les glaciers qui flottent sur les océans, encadrés par de longs cils blancs; un regard qui peut s'avérer doux, ou encore perçant à en glacer le sang dans les veines, qui peut présenter une colère à en tourmenter le plus brave homme ou encore briller d'une myriade de lueurs d'émotions différentes. C'est un regard qui, malgré son expression qui se veut toujours le plus neutre possible, ne sait mentir, qui trahit ce qu'elle ressent réellement, ce qu'elle pense. Ses yeux révèlent tout ce qui lui passe par la tête, et Hyli en est très consciente. Sauf que celui qui saura déchiffrer son humeur par son seul regard soit la connaît très bien, ou encore est très observateur.

 On pourait presque qualifier la jeune albinos de poupée de porcelaine à ce stade. Elle s'habille dans un style mariant le gothic lolita avec la mode actuelle; ses couleurs de prédilection étant le noir, le blanc et le bleu poudre. Elle affectionne tout particulièrement les robes et les souliers type ballerines, bien qu'il lui arrive de porter autre chose aussi. De toute manière elle s'en fout totalement. Tant que ses vêtements lui plaisent et l'empêchent de se fondre dans la masse, elle est heureuse, un point c'est tout.

 Et puis, petit détail qui peut sembler anodin mais, autour de son cou, elle porte une chaînette en argent, de laquelle pend un simple pendantif; une perle, noire, aux reflets violets et bleutés.
 

 
Quoi mon caractère ?

 

 Hyli, c'est le genre de personne qu'on ne daigne pas approcher, qu'on juge simplement d'un regard avant de se dire qu'il vaudrait mieux l'éviter. Elle est bizarre autant de par son apparence inhabituelle que par son caractère bien caché derrière un masque de faux sourires et de regards se voulant dénués d'émotions complètement, ce qui, avouons-le, n'est pas du tout difficile pour elle de se composer le matin.

Elle a constamment un air froid peint sur son visage blanchâtre; un air froid et maladif, mais autoritaire malgré sa frêle carrure peu imposante. Son regard terne, ses lèvres bleutées figées en une ligne droite, la mâchoire serrée, la jeune femme n'inspire pas directement confiance. Son langage corporel crie presque aux autres de la laisser tranquille. Dès qu'on l'approche et qu'elle ne veut pas de la compagnie qu'on lui offre, elle n'a qu'à lancer un regard vers l'importun pour lui faire comprendre qu'il n'est pas le bienvenu. En général, ça semble fonctionner.

Malgré cet extérieur froid et peu invitant, Hyli ne cherche qu'à ne plus être seule. A ne plus souffrir autant que lorsqu'elle était petite, à être complètement seule et isolée dans la maison qu'elle partageait autrefois avec ses parents.
Histoire

Il était une fois, dans un pays nommé Japon, naquit une fillette dénommée Hyli. Sa naissance était attendue depuis longtemps par ses parents, qui pourtant furent surpris de l'apparence du nouveau-né; on aurait dit qu'elle était toute de neige faite, sa peau étant si blanche qu'elle en était presque translucide par endroits, le duvet sur sa tête était tout blanc, teinté de rose à cause du fluide amniotique dans lequel elle avait baigné depuis sa conception, et les petits cils que l'on pouvait voir au bord de ses paupières étaient tous aussi blancs. Sans surprises, ses parents en furent étonnés; ils ne s'attendaient pas que la mère accouche d'une petite albinos. Et ce fut la différence de la fillette qui la mena bientôt à une enfance difficile.

Tout fut heureux au début. Parents heureux, enfant heureuse. Les premières années de sa vie passèrent dans le bonheur, sans accrochages. Enfin... jusqu'à temps que le père, qui était un inspecteur, ne passe de ce statut à exécuteur, son coefficient de criminalité ayant dépassé le point de non-retour après une situation très particulière. Même si ce fut difficile de s'adapter, la mère d'Hyli fit de son mieux pour élever sa fille comme elle le put, seule. Jusqu'à temps qu'une autre mauvaise nouvelle ne les atteigne, celle de la mort du père de la fillette, qui avait été tué en mission. Quelle joie, n'est-ce pas? Mais le malheur ne cessa pas de s'acharner sur la pauvre famille; troublée, dévastée, en peine, la mère d'Hyli ne put demeurer calme bien longtemps. Son Psycho-Pass devint trouble, sa couleur changea, son coefficient de criminalité augmenta en flèche. Et tout cela lui valut une mort certaine, une mort douloureuse sous le feu d'un Dominateur.

Et dès ce moment, Hyli fut laissée à elle-même.

Comment une pauvre fillette comme elle avait-elle pu survivre aussi longtemps? Son propre Psycho-Pass aurait dû en souffrir, non? Eh bien, non. Elle n'avait pas compris pourquoi malgré ses larmes, malgré ses émotions violentes, malgré tout ce qu'elle avait vécu, son Psycho-Pass n'avait pas changé une seule fois. Et la gamine qu'elle était à l'époque avait finit par comprendre. Elle était seule désormais, réellement seule; même Sibyl ne pouvait la juger. Ce fut à ce moment qu'elle commença à vouer une haine profonde envers le système; pour lui avoir pris sa famille, sa place dans le monde. Même si jeune, elle savait déjà qu'elle se vengerait, coûte que coûte.

Un an passa. Hyli vivait seule dans l'ancienne demeure de sa famille, maintenant complètement abandonnée. Personne n'osait y aller. Et elle en profitait pour y rester, parmi les vieilles photographies de ses parents, morts l'an dernier. Pourtant, elle trouvait toujours le courage de sortir au moins une ou deux fois par semaine, chapardant des trucs à manger ici et là vu qu'elle n'avait point l'argent pour se nourrir 'légalement'. Rendue là, elle était devenue fragile, chétive tant elle était malnourrie. Heureusement que le destin voulut altérer son sort cependant, elle qui souffrait de sa solitude et des regards qu'on lui lançait sur la rue lorsqu'elle sortait...

Par une journée particulièrement grise, alors qu'elle était sortie chercher de quoi manger, elle avait fait la connaissance de deux jeunes garçons. A ce moment, ils avaient l'air intimidants à ses yeux, à être plus grands et définitivements faits plus forts qu'elle. Mais ils s'avérèrent beaucoup plus gentils que ce qu'elle avait anticipé. Hyli n'aurait jamais cru qu'une telle rencontre aurait pu résulter en une amitié des plus pures, des liens encore plus solides que ceux qu'elle avait formés avec ses parents de leur vivant. Ce fut une amitié qui lui redonna espoir, qui lui redonna envie de vivre sa vie malgré qu'elle n'avait jamais eu de place dans cette société contrôlée par la technologie. Pendant un temps elle eut oublié son désir de se venger envers Sibyl; elle n'avait jamais connu un tel bonheur que celui qu'elle vivait présentement. Pourtant, il lui restait encore une crainte. Et Hyli se doutait que cette crainte pouvait très vite devenir une réalité.

«I sense there's something in the wind
That feels like tragedy's at hand
And though I'd like to stand by them
Can't shake this feeling that I have
The worst is just around the bend...
»

Quelques années passèrent. Tout allait bien. Tous les jours, Hyli s'arrangeait pour aller retrouver ses amis. Elle avait presque l'impression qu'ils étaient devenus sa famille depuis le temps. Tous deux avaient une place bien spéciale dans son coeur, une place qui ne pouvait revenir à personne d'autre. Durant toutes ces années, jamais elle n'avait laissé une autre personne se tailler une place comme la leur. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était de pouvoir rester avec eux, que tout demeure comme ça l'est en ce moment. Pour une fois qu'elle arrivait à toucher le bonheur, à ne plus être seule... Pour une fois qu'on ne la regardait pas de travers lorsqu'elle sortait... Pour une fois qu'on ne la prenait pas pour un monstre...

Parfois elle prenait un peu de recul, elle prenait le temps d'observer ses amis avec un grand sourire au visage. Elle se demandait s'ils se rendaient compte de tout le bien qu'ils avaient pu lui apporter durant ces quelques années, du fait qu'elle les considérait maintenant comme sa famille. La jeune fille qu'elle était à l'époque leur donnait priorité par dessus tout le reste; si quelque chose n'allait pas, elle était là pour aider, s'ils étaient tristes elle était là pour tenter de les réconforter. Elle ne savait pas s'ils eux en étaient au courant, mais jamais elle avait osé en parler. Pourtant... la peur qu'elle avait grandissait d'année en année, et plus ç'allait, plus Hyli commençait à douter de tout cela. Peut-être qu'après tout... cette amitié allait s'écrouler.

«And do they notice my feelings for them?
And will they see how much they mean to me
I think it's not to be...
»

* * *

Vide.

Dévastée.

En colère.

Il n'y a pas mieux que ces termes pour décrire l'état d'esprit d'Hyli après ce qui s'était passé à l'époque. Pourquoi? Pourquoi l'un avait-il choisi de protéger Sibyl, et l'autre de le détruire? Elle ne comprenait plus. Elle ne voulait pas comprendre ces choix. Ce qu'elle voulait comprendre, c'était pourquoi l'on avait décidé de sacrifier cette amitié au profit de deux buts totalement différents.

La détresse qu'elle avait vécue à ce moment avait été telle que la jeune fille ne voulut pas y croire. Elle avait versé des larmes, certes, mais les avait cachées comme elle avait pu. À ce moment elle avait vu trois chemins se dessiner devant eux. Ses deux seuls amis avaient pris des directions totalement opposées. Cependant... elle ne savait pas quoi faire. Devait-elle suivre quelqu'un, ou emprunter son propre chemin? Elle était perdue, si perdue... L'albinos ne voulait pas se retrouver seule, mais... elle avait l'impression qu'elle n'avait plus sa place auprès de ses deux potes. Ils étaient partis chacun de leur côté. Désormais elle ferait la même chose.

Ce troisième chemin fut celui qu'elle emprunta, un chemin qui la mena vers la solitude qu'elle ne voulait pas. Tout était comme avant, désormais; les moments de son enfance devenant de douloureux souvenirs lui rappelant que même les liens les plus forts ne sont jamais éternels.

«What will become of my dear friends?
Where will their actions lead us then?
And though I'd like to join the crowd
In their enthusiastic cloud
Try as I may it doesn't last...
»

Les années passèrent. Malgré les difficultés qu'elle eut à surmonter, Hyli parvint à se trouver un petit boulot chez un fleuriste, l'un des rares qui existaient encore en cette ère moderne du Japon. Elle avait réussi à se procurer un ordinateur et, se cachant derrière plusieurs systèmes de sécurité et proxys divers, Hyli devint une hackeuse, infiltrant les systèmes de la ville sans se faire détecter, s'amusant à observer les gens dans leurs vies quotidiennes et autres. C'était le moins qu'elle puisse faire pour se divertir en fait, puisqu'avec le temps sa peau devenaient encore plus sensible au soleil, elle ne pouvait plus sortir autant qu'avant. Mais bon.

Ce fut par hasard si, un jour alors qu'elle observait la ville à travers les caméras de sécurité, qu'elle repéra un visage qui lui était familier. Au début elle n'y avait pas cru. Mais avec un peu d'observation elle avait pu comprendre que c'était bel et bien l'un de ses amis d'enfance. Et depuis ce temps bah, elle l'observe de temps à autres pour voir s'il va bien. Elle n'a aucune idée de ce qui est advenu de l'autre non plus; peu importe ce qu'elle tentait, elle n'arrivait pas à le retrouver. Mais Hyli ne voulait pas assumer le pire. Elle niait même cette possibilité.

Ce temps qui passa entre la dernière fois où elle vit ses amis et le moment présent, alors qu'elle était assise sur le toît de l'immense immeuble où elle logeait désormais, à observer les lumières colorées de la ville la nuit, avait parut être une éternité pour la jeune femme. Sa perpétuelle tristesse l'empêchait ne serait-ce que d'apprécier la vue qui s'offrait à elle à sa juste valeur. Tous les jours, elle ne pouvait s'empêcher d'espérer que ces trois chemins qu'ils avaient empruntés se croiseraient de nouveau, sans pour autant les opposer. Elle espérait que tout pourait redevenir comme avant, quand ils étaient gosses. Elle voulait que tout redevienne comme avant, quand elle était heureuse. Quand ils étaient heureux, tous les trois. Mais elle doutait que cela ne puisse se produire de nouveau.

En attendant elle continuera d'espérer qu'un jour, Sibyl ne les séparera plus... et qu'ils puissent redevenir la famille qu'elle chérissait tant en grandissant.

«And will we ever end up together?
No, I think not... It's never to become,
For we are not...

The ones...
»


 
 
 
 
 
 
 
Go to Hell, Sibyl ♦ Hyli 690334image287

 

 
Go to Hell, Sibyl ♦ Hyli 690334image287

 

 
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